Banques et Climat : Le moment de rendre des comptes

Banques et Climat : Le moment de rendre des comptes

Banques et Climat : Le moment de rendre des comptes

ACTIVATION JUSQU’AU 31 MAI 2024 : 
Les constats posés par cet article à l’époque n’ont que très peu bougé. Cependant, des alternatives plus éthiques se sont bien développées ! Parmi elles, Green-Got : une néo-banque française qui ne finance que des projets compatibles avec les Accords de Paris avec de la transparence et le soutien d’un conseil scientifique. Dans cette démarche, on vous partage notre collaboration avec vous une occasion de faire d’une pierre 2 coups !

En cliquant sur le bouton ci-dessous, vous nous laissez votre mail et vous recevrez un code avec lequel : 
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Bonus : pour chaque personne qui demande le code, vous participez à un tirage au sort pour gagner un super cadeau (+ de détails sur notre post Instagram ici) 

De quoi vous donner envie de sauter le pas et de ne pas repousser un geste fort pour le climat !

Nouvel article !
Cette fois, à l’occasion de la COP 26 qui aura lieu du 31 octobre au 12 novembre à Glasgow (sur laquelle nous reviendrons en détails dans les temps à venir!), on souhaitait vous parler climat… et banques !
Loin de nos sujets habituels, le rôle des institutions financières sur le climat est colossal et devra être au centre des attentions lors des débats au mois de novembre.
Avec POW Europe et toutes ses antennes, on lance donc une campagne qui a pour but d’encourager les populations à se rendre compte de l’impact des banques sur le climat.
Pour savoir de quoi on parle, c’est maintenant  ⬇️

NB : Les éléments mis en avant ci-dessous sont issus de nombreuses sources, dont les derniers rapports d’Oxfam et les Amis de la Terre sur la question. Toutes les ressources à retrouver au fur et à mesure de l’article en cliquant sur ce symbole 1 et à la fin de l’article.

On apprendra rien à personne je pense, en disant que les banques ont un poids capital sur le monde et sur nos vies. Pour la plupart d’entre nous, la relation banque-client est une relation à sens unique, passive. Moins on a de nouvelles de notre banque, mieux on se porte.
On ne va donc pas instinctivement se demander comment la banque gère les bénéfices qu’elle fait sur notre argent. Pourtant, les choix d’investissements ou de financements de ces dernières façonnent véritablement la société dans laquelle chacun évolue. Une fois qu’on s’est dit ça, rien d’étonnant d’apprendre que les grandes banques peuvent être des acteurs majeurs contre le climat, de par leurs investissements dans des entreprises actives dans le pétrole, le charbon, le gaz. 
En tout cas pour l’instant.

Comme l’explique Oxfam dans son rapport « Quoi qu’il en coûte : Les banques au secours de l’industrie fossile » 2 :

Via leurs choix d’octroi de crédits, les banques choisissent de financer des entreprises ou des projets à l’impact plus ou moins lourd sur le climat. Elles peuvent également permettre aux entreprises de lever des fonds sur les marchés financiers en émettant pour leur compte de nouvelles actions ou obligations. Tous ces outils contribuent au financement des entreprises. Par ailleurs, les banques peuvent également investir sur ces marchés financiers en achetant des actions ou des obligations d’entreprises. Cette responsabilité est bien réelle : les banques ont le pouvoir de décider quelles activités économiques bénéficieront de capitaux et seront valorisées en bourse, et réciproquement, lesquelles seront laissées au bord de la route.

Même en sachant ça, si l’on ne le savait pas, difficile d’avoir une idée des ordres de grandeurs dont il est question. Spoiler : c’est du lourd.
Dans le rapport « Banques : Des engagements climat à prendre au 4e degré » 3, on commence fort : les banques françaises représentent près de 8 fois les émissions de GES de la France entière.
Les 6 premières banques de France – BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale, BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Epargne), Crédit Mutuel et la Banque Postale – pèsent 3,3 milliards de tonnes équivalent CO2 par an. Si chacune ne donne pas sa part au chien comme dit l’adage, certaines sont plus généreuses que d’autres lorsqu’il s’agit de payer sa tournée de pétrole. Pour un euro investi par exemple, la Banque Postale contribue deux fois moins au réchauffement climatique que la Société Générale.
Les trois premières banques citées sont tout simplement les trois entreprises françaises les plus polluantes. Ne cherchez plus, on tient nos champions !

 

Commentaire : Les émissions économisées mesurent l’impact positif des crédits et investissements orientés vers les secteurs réduisant les émissions, dans des projets ou entreprises « vertes » tournées vers les énergies renouvelables, l’isolation des bâtiments, etc. 

Pour rappel, après l’accord de Paris lors de la COP21, les banques françaises s’étaient engagées à être alignées sur les objectifs permettant de rester sous la barre des +1.5C°.
Mis à part quelques exemples d’investissements « verts », qui représentent une infime partie de leurs investissements, les banques continuent leurs courses vers un chemin plus « chaud » que celui prévu par l’accord de Paris.

Commentaire : Si les banques françaises poursuivaient leurs activités comme dans l’année d’analyse, alors la Banque postale, Crédit Mutuel et BPCE se positionneraient sur un réchauffement entre 3 et 4°C d’ici 2100, tandis que Crédit Agricole, BNP Paribas et Société Générale nous emmènent vers un réchauffement compris entre 4 et 5°C.
Cela prend en compte les intensités liées aux financements et aux investissements réalisés par la banque en tonnes de CO2 par millions d’euros de financements, mais aussi l’évaluation de la stratégie climat de la banque.

Entre des premiers efforts largement insuffisants 4, des exemples de greenwashing 5 , ou des promesses de certaines banques à prendre avec des pincettes 6 , l’état actuel des choses n’est pas rassurant.
Même avec l’année 2020 et le Covid, qui aurait pu servir d’aiguillage pour changer de voie, que « le jour d’après ne ressemble pas au jour d’avant » pour reprendre les dires d’Emmanuel Macron 7 , et bien les banques françaises ont continué… d’augmenter leurs investissements !
Dans son rapport de mai 2021, Oxfam explique que depuis janvier 2020, BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et le groupe BPCE ont accordé 100 milliards de dollars de financements aux entreprises actives dans les énergies fossiles. Ces dernières ont augmenté leurs financements de 22,5 % en moyenne entre 2019 et 2020.

 

Comment justifier ça ? Pour notre Goliath français, BNP Paribas (qui à elle seule, pèse 41 milliards d’investissements aux énergies fossiles en 2020), c’est justement le caractère exceptionnel de la crise qui nécessitait de tels investissements. Des arguments bancales que Reclaim Finance a longuement démantelé 8 en expliquant notamment que cette augmentation ne vient que confirmer la hausse de 75 % entre 2018 et 2019, ou encore que si la crise méritait réellement de tels investissements, on aurait vu une augmentation chez toutes les banques internationales alors que… attention nouveau spoiler : ce n’est pas le cas ! Globalement, les investissements des grandes banques internationales dans les énergies fossiles ont baissé de 9 % en 2020 par rapport à 2019. BNP fait de la résistance ! 
Tous ces chiffres, c’est important de les garder en tête, par exemple quand on lit le droit de réponses de certaines banques suite au rapport de novembre 2019 d’Oxfam et les Amis de la Terre 9
Entre remise en cause de la méthode de calcul, “oui mais regardez eux c’est pire”… on vous conseille d’aller y jeter un œil. En attendant, on vous a quand même mis de côté nos deux extraits favoris  :

« Aujourd’hui, l’urgence climatique impose à tous les acteurs de la société d’effectuer leur transition vers un autre modèle, et vite. Tous ces acteurs continuent de prendre des décisions qui impliquent des émissions de CO2, mais certains évoluent plus vite que d’autres. »

« Vous avez choisi de prendre comme point de départ l’année 2011. Or, c’est depuis 2015 que la prise de conscience de l’urgence climatique par les citoyens, les entreprises et le monde politique s’est véritablement accélérée.» 

On aurait pu continuer de vous assommer de chiffres qui font tourner la tête, mais chez POW on n’a pas encore de compte offshore, alors on du mal à visualiser ce que ça fait des milliards. #PandoraPapers
L’objectif était d’assimiler ce message dans toutes nos têtes : les banques ont un pouvoir incommensurable sur les énergies fossiles et donc sur le climat. Et elles n’ont pas prévu de changer les choses de gaieté de coeur.
La sortie du rapport du groupe 1 du GIEC (notre article ici) a rappelé ce qui devrait être évident pour tout le monde maintenant : nous devons sortir des énergies fossiles !
Même l’Agence Internationale de l’Energie, historiquement connue pour être plutôt en faveur des énergies fossiles, a communiqué en mai dernier : « L’alignement sur une trajectoire de réchauffement de + 1,5 °C implique la fin des investissements dans l’exploration ou l’extraction d’énergies fossiles » 10 

À nous d’agir et de faire savoir que nous sommes de plus en plus nombreux.ses à réclamer que les choses changent, que des mesures fortes doivent être prises rapidement… et que notre argent ne doit plus financer des projets qui vont à l’encontre de nos engagements jour après jour.
Pour commencer, on vous donne la possibilité grâce à notre outil d’écrire à vos banques pour leur demander des comptes sur comment est utilisé votre argent. ⬇️⬇️⬇️

C’est une première action qu’on vous propose : de prendre contact avec votre banque, d’en apprendre davantage sur comment est utilisé votre argent, de prendre conscience de l’empreinte de vos économies.
En attendant, on revient avec plein d’autres choses pour faire vivre le sujet, et vous proposer d’autres actions ou alternatives dans les temps à venir !
Ensemble, agissons pour que notre argent soutienne le futur que l’on désire !

EDIT : Bonne nouvelle, la Banque Postale est la 1ère banque à annoncer la sortie totale des industries fossiles d’ici 2030 ! Plus d’informations ici : https://reclaimfinance.org/site/2021/10/14/la-banque-postale-1ere-banque-a-tourner-le-dos-au-petrole-et-au-gaz/

Ressources pour aller plus loin : 

Les rapports d’Oxfam et les Amis de la Terre : 
Mai 2021 https://www.oxfamfrance.org/wp-content/uploads/2021/05/Rapport-Banques-QuoiQuIlEnCoute-VF.pdf
Octobre 2020 https://www.oxfamfrance.org/wp-content/uploads/2020/10/rapportBanque_OXFAM_v5.pdf 
Novembre 2019 https://www.oxfamfrance.org/wp-content/uploads/2019/11/Rapport-La-colossale-empreinte-carbone-des-banques-fran%C3%A7aises.pdf 

Le site de Reclaim Finance : https://reclaimfinance.org/site/

La vidéo de Blast sur le sujet, si vous voulez un format audio pendant que vous faites la vaisselle ou votre sport : https://www.youtube.com/watch?v=-_IRFGwrhPA&t=45s 

 

MEET OUR RIDERS : Robin JANVIER

MEET OUR RIDERS : Robin JANVIER

Nous vous présentons enfin Robin JANVIER ! Après quelques années passée à nos côtés il nous raconte sa passion pour le ski et comment il œuvre pour une mobilité plus douce.

« Moi c’est Rob ! Habitant à Annecy je skie depuis que j’ai 2 ans. Je suis totalement imprégné par la montagne, le froid, la neige… c’est plus qu’une passion c’est ma vie. 

Ma pratique du ski est très tournée vers la montagne, je suis un grand fan des départs aux premières lueurs. Être seul en montagne c’est vraiment ressourçant ! J’évolue beaucoup dans les Aravis car j’adore la conception de la chaîne de la montagne qui offre une multitude de terrains de jeux.

Il y a quelque année, je me souviens de grosses chutes de neige dans mon village, des transports scolaires suspendus (et ça c’était cool) et depuis quelques temps j’ai l’impression que ça n’existe plus en dessous de 1000 mètres. C’est ce qui m’a poussé aussi d’une certaine façon à vouloir faire quelque chose, à chercher de l’aide, un support, je me suis dit : mais est-ce que je suis le seul à vouloir changer les choses ?

C’est pourquoi je me suis engagé auprès de POW. La mission et les valeurs de l’association correspondent tout à fait aux miennes. La mobilité douce, la sensibilisation, la protection de l’environnement dans les stations de ski… sont au premier plan de leur stratégie et ayant peur de voir disparaitre mon terrain d’expression et de jeux, j’ai voulu m’impliquer. J’aime aussi le fait de pouvoir intervenir en direct avec des jeunes pour partager autour des sujets liés à l’environnement, mais de façon locale.

Étant très mauvais sur les transports et la mobilité de façon générale j’ai voulu mettre en avant différents axes à améliorer et activer. J’ai trouvé des partenaires avec une certaine étique / conscience environnementale et avec une envie de changer les choses. J’essaye de faire les bons choix pour pouvoir petit à petit créer des automatismes dans ma réflexion et limiter mon impactEn parallèle de ça, j’essaye d’amener cette dimension environnementale à travers mon boulot (directeur artistique et designer dans le sport outdoor). Je cherche à créer des liens entre le design et l’environnement, à travers la sollicitation de solutions cognitive.

Je pense que ça peut créer des changements concrets et palpables dans nos habitudes et comportements, c’est de l’exploration qui mènera sûrement quelque part un jour… »

MEET OUR RIDERS : Robin JANVIER

Le chantier archéologique de Jean-Baptiste Ortlieb

Pour sa thèse en histoire environnementale, JB Ortlieb étudie une ancienne « marcairie » (ferme d’estive) située à 1100 m d’altitude dans les Vosges, pour voir comment les modes de valorisation des montagnes ont changé au cours du temps – ou comment les humains se sont adaptés à leur environnement.

J’ai effectué une fouille archéologique en montagne pour l’intégrer à mes recherches pour ma thèse en histoire environnementale. On étudie comment les hommes se sont adaptés à leur environnement pour monter les troupeaux. C’est une des thématiques qui permet de mettre en perspective notre propre adaptation aux changements climatiques, puisqu’à l’époque du site de fouille on est dans une période de refroidissement du climat (appelé Petit Âge glaciaire).

La fouille est la première réalisée sur une “marcairie”, qui est une ferme d’estive ancienne, exploitée entre la fin du Moyen Âge et le début du XVIIIe siècle pour garder les troupeaux et produire du fromage l’été. Rien d’extraordinaire a priori, mais dans les Vosges comme dans les autres massifs français, ces pratiques sont celles qui perdurent depuis des siècles / millénaires, dans les zones qui, aujourd’hui accueillent le plus souvent les stations. Comme la pratique récréative des montagnes (ski, randonnée…) est récente, la question est de voir sur quel héritage on se trouve, notamment du point de vue de l’environnement.


Un point intéressant pour les Vosges (qui ne sont pas bien hautes forcément), c’est que tous les pâturages d’altitude, qui ont permis un développement très précoce du ski, ne sont en fait pas naturelles, mais anthropiques – d’origine humaine -.

Les études paléoenvironnementales des géomorphologues avec qui je travaille on montré que ces défrichements des sommets datent, pour les premiers attestés, de l’Âge du Bronze (autrement dit les Celtes, vers 2000 av. J.-C., à peine plus récent que les pyramides de Gizeh).


Forcément, le paysage a évolué entretemps, mais aujourd’hui ces milieux sont très protégés (Natura 2000, PNR des Ballons des Vosges) pour la faune et la flore particulière qu’ils accueillent. De plus c’est parmi les meilleurs spots pour rider dans les Vosges, puisqu’on est suffisamment haut pour la bonne neige et qu’on évite les arbres. C’est pourquoi sans ces défrichements très anciens et récurrents et ces milieux protégés, pas de ski – en tout cas comme on le connaît – dans les Vosges. Mais la forêt regagne du terrain, avec la déprise agricole. Du coup, l’enjeu c’est de connaître l’évolution et le rapport ancien à l’environnement, en regardant comment les populations locales antérieures au XVIIIe siècle entretenaient et valorisaient ces paysages et ces milieux naturels, dont on hérite aujourd’hui pour de nouvelles pratiques.

Alors chez POW on se questionne, quelles seront les trace que nous aurons laissées pour les archéologues du futur ? …

Worn Wear Week-end aux Arcs

Le week end des 2 et 3 février dernier, nous étions aux Arcs aux côtés de l’équipe de Patagonia pour l’étape locale du Worn Wear Tour. À l’occasion du Big Up & Down, la tiny house/atelier de couture de Patagonia s’était arrêtée sur le front de neige, et nous y étions pour inviter les passants à venir faire réparer leurs vêtements de neige.

Fred et Anaïs, les couturier-es présent-es sur place, ont travaillé d’arrache pied pendant les trois jours de l’évènement pour donner une nouvelle vie à toutes les vestes, pantalons, gants ou même sacs à dos qui leur sont passés entre les mains.

POW France était sur place pour promouvoir une idée au delà de la simple initiative d’une marque. La production des vêtements que nous portons durant nos aventures enneigées représente une source non négligeable d’émissions carbones. L’industrie des sports d’hivers nous fournit les outils qui nous permettent d’aller explorer des terrains de jeux grandioses, mais la tendance à vouloir toujours renouveler les collections et nous vendre sans cesse de nouveaux produits, a un impact réel sur ces mêmes terrains de jeux. Chercher à réparer son équipement plutôt que courir en racheter du neuf aux premiers accros représente une occasion forte de s’engager pour le climat. En plus, cela permet de garder les vêtements dans lesquels nos meilleures aventures ont été vécues, et de conserver les souvenirs de ces moments dans nos vestes préférées!

En incitant les usagers à réparer plutôt que jeter, nous espérons les inspirer à adopter la même attitude dans d’autres domaines de leur vie de tous les jours. Un geste à la fois, nous pourrons ainsi tous agir pour protéger nos hivers.

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MEET OUR RIDERS : Robin JANVIER

Rendez-vous à ISPOW!

Cette année de nombreux membres de Protect Our Winters s’étaient donné rendez vous à ISPO (le salon des «International Sport Products and Outoor») à Munich. L’occasion de voir que le sujet du climat est de plus en plus présent chez les marques et que notre travail à l’échelle mondiale, européenne, ou française commence à prendre.

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tenu par nos copains de POW DE

En plus de rencontres avec nos confrères européens, et particulièrement les allemands et les autrichiens venus en force, on a aussi pu organiser un apéro sur le stand Jones, avec Jeremy Jones lui même (un petit entretien avec lui à retrouver sur ce blog) qui a joué le jeu, en compagnie de Giulia Monego, Pierre Marchionni ou encore de Anne Flore Marxer.

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l’apéro POW

On en a profité pour essayer de mieux coordonner les branches européennes de l’association, qui grandit de mois en mois et d’année en année. Notamment on se disait qu’il serait important de mieux gérer nos ressources, mieux échanger sur nos initiatives et nos sponsors, ces derniers pouvant parfois être pan-européens.

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réunion euroPOWéenne

Coté salon, et coté marques, on a pu voir le fruit de notre travail à l’échelle mondiale, avec pas mal de mise en avant de notre logo POW sur les stands (diaporama ci dessous). Nous en avons profité pour mettre en place des futurs projets avec NOK (marque skateboard, fabriqué à partir d’anciennes planches de snowboard), PATAGONIA (comment agir de façon commune avec leurs athlètes), SPYDER (dont le CEO est membre du board de POW International) , GIRO (et sa gamme de casques et masque Co-brandé POW), et KLEAN KANTEEN (qui est un soutien historique et essentiel de notre association en Europe).

 

Enfin on en a profité pour travailler avec Morgan Le Lann qui va, au travers de sa société de relations presse (MORGAN RP), nous aider à mieux communiquer vers les média, sa façon à elle de servir la cause. C’était sympa de discuter stratégie avec elle, toujours fraîche et motivée !

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