On présente régulièrement des athlètes de la riders alliance mais aussi des bénévoles de l’association, et ce mois-ci c’est au tour de Clément Boivin, 19 ans et bénévole POW France depuis 3 ans. Il nous raconte son parcours, pourquoi il a rejoint POW et ce qu’il fait chez nous.
Étudiant en Médecine et passionné par la protection de l’environnement, c’est dans cette optique que j’ai rejoint POW après avoir rencontré Suzie, notre responsable bénévole, au Snowboard Garden Festival de Grenoble en 2017.
De par mes études, je me destine à veiller au bien-être des personnes et j’estime pour cela que vivre dans un environnement protégé est primordial. À travers mes pratiques sportives en montagne, je me rends compte à quel point ce qu’elle nous offre est formidable, mais aussi à quel point elle est fragile. C’est pour cela que j’ai décidé de m’investir au sein de l’association POW France, dont les valeurs de protection de ce qui est, entre autres notre terrain de jeu, m’ont tout de suite attiré !
Au début de l’aventure je participais à la communication sur les réseaux sociaux, puis je me suis impliqué dans d’autres projets, notamment en lien avec le domaine scientifique que j’espère renforcer dans les mois à venir ! Aujourd’hui, je suis référent du groupe local des Alpes et aussi de celui de l’Isère, où je vis. À travers ce rôle, c’est vraiment génial de pouvoir accompagner les néo-bénévoles à accomplir leurs envies de faire avancer les choses et de voir l’effervescence qu’il y a autour des valeurs et objectifs de POW !
Faire partie de cette communauté, c’est se sentir impliqué dans un mouvement de passioné.es du milieu montagnard, dans un réseau qui regarde en avant pour préparer le futur de nos pratiques. C’est aussi faire des rencontres et échanger avec des gens qui partagent les mêmes idéaux, la même passion et ça, ça motive un max !
J’essaie de faire connaître nos actions dans mon entourage, car c’est tou.tes ensemble que nous arriverons à faire bouger les lignes, alors n’hésitez pas à nous rejoindre !
Alors que la crise sanitaire perdure, l’heure est plus que jamais à l’entraide et à la solidarité.
De cette pause imprévisible émergent de belles initiatives, porteuses des valeurs qui nous sont chères et qui préparent, nous l’espérons, l’après-confinement, le monde de demain. Un monde tourné vers la réflexion collective, socle d’une société plus juste et d’une économie plus durable, intégrant le respect et la protection de l’environnement comme pré-requis indispensable.
Retour sur quelques initiatives qui ont marqué le confinement depuis sa mise en vigueur début mars. Acteurs individuels, organismes ou entreprises, voici un tour d’horizon des acteurs de l’espoir.
ENVIRONNEMENT
MONTAGNE – L’arrêt forcé de nos modes de vie traditionnels a engendré une amélioration sensible de la qualité de l’air dans de nombreuses régions du monde, et notamment dans les régions les plus touchées par la pollution. Ainsi l’Inde a observé une baisse significative de ses niveaux de pollution depuis la mise en place du confinement, rendant visibles dans un rayon de 200km les sommet enneigés de l’Himalaya (voir photo ci-dessus) !
À VOS VOTES – Depuis le 30 mars, les citoyen.nes européen.nes sont invité.es à donner leur avis sur les objectifs climatiques qu’entend mettre en place la Commission européenne. L’objectif de réduction des gaz à effet de serre d’ici 2030 en est le point de discussion principal. Rappelons que l’objectif final à “zéro émission nette de carbone” en 2050 est loin d’être atteint.
POW France encourage chaque citoyen à faire valoir ses droits démocratiques pour demander une réponse politique à la crise écologique. La consultation est disponible en ligne jusqu’au 23 juin. A vos idées et à vos claviers!
ACTION POLITIQUE – La convention citoyenne pour le climat, qui avait été créée en octobre 2019, entend conjuguer les réponses à la crise sanitaire et à la crise climatique. Réuni.es par visioconférence, les 3 et 4 avril, les 150 Français.es tiré.es au sort ont transmis au président de la République ainsi qu’au premier Ministre leur « contribution à la sortie de crise », sous forme d’un texte général d’intention et de cinquante propositions de mesures, permettant une sortie de crise combinant le climat, la justice sociale, l’économie et la santé. Affaire à suivre!
LES ONG RÉAGISSENT – 250 ONG sonnent l’alerte sur le sauvetage des compagnies aériennes. Alors que le Gouvernement français vient d’annoncer ses premières mesures de soutien aux compagnies aériennes, la société civile se mobilise internationalement pour poser des conditions au sauvetage du secteur. L’avion demeure le mode de transport le plus polluant, il convient au gouvernement d’exprimer clairement les conditions environnementales et sociales qu’il souhaite imposer en contrepartie des aides qu’il apporte avec l’argent commun. On en parle plus longuement dans ce post.
Lorsque le confinement sera terminé, chacun pourra mesurer l’importance de Voyager malin, en prenant le train, en faisant du covoiturage, en optant pour les transports publics, en favorisant les activités près de chez soi et en rallongeant ses séjours lorsqu’il faut s’y rendre en avion. On compte sur vous!
SOLIDARITÉ
LES MARQUES OUTDOOR SOUTIENNENT LA LUTTE CONTRE LE COVID-19 – Alors que la solidarité est au cœur de la culture outdoor, les marques font appel à leur créativité pour venir en aide aux soignants et contribuer à une réponse d’urgence à la crise sanitaire. Retour sur quelques exemples français et européens de ces belles initiatives!
Le Groupe Millet a lancé la fabrication de blouses en coton homologué, rendant disponibles près de 900 blouses qui vont être réparties dans Centres Médicaux d’Annecy.
Zagskis se mobilise pour les infirmières et infirmiers du Mont Blanc. Depuis Chamonix, la marque souhaite apporter son aide au personnel soignant en récoltant des fonds pour les infirmières et infirmiers des Hôpitaux du Pays du Mont-Blanc à Sallanches.
Decathlon met à disposition des hôpitaux son modèle de masque de plongée Easybreath, transformé en matériel médical. Le groupe a aujourd’hui retiré ses produits de la vente pour le réserver exclusivement aux soignants : c’est au total un stock de 30 000 masques qui sera ainsi distribué.
La Fabrique du Ski et Athletics3D développent un masque FFP2 réutilisable. La marque de ski iséroise, en collaboration avec Athletics3D (impression 3D dans le domaine du sport) a lancé la production dans sa petite usine de Villard de Lans.
La marque de lunettes Milf Sunglasses installée à Annecy a monté près de 250 lunettes de protection pour équiper rapidement le personnel du CHU de Chambéry en charge des malades covid-19.
Pour ne donner qu’un exemple italien, l’équipementier Salewa-Oberalp fournit masques et blouses aux personnels sanitaires et publics et La Sportiva a partiellement rouvert son usine pour contribuer à la production de matériel de protection comme les masques et blouses.
LE MONDE DU SPORT S’ENGAGE – Réuni.es dans une tribune qui récolte plus de 150 signatures, les athlètes signataires prônent le sport comme partie intégrante de la construction de notre société de demain. La tribune met en avant les bienfaits de la pratique sportive mais alerte également sur les besoins d’une réforme de l’industrie du sport qui devra se poser comme modèle de la transition sociétale et environnementale. Retrouvez le mouvement ici: www.lesportdapres.fr
MOBILITÉ
COUP DE PÉDALE SOLIDAIRE – Des centaines de coursiers solidaires circulent dans les rues d’Annecy pour venir en aide à celles et ceux qui ne peuvent pas se déplacer. Vous avez un vélo, des sacoches ou un panier, voire un cargo ? Du temps à revendre et l’envie de donner un coup de main à ceux qui ne peuvent pas se déplacer pour faire leurs courses ? Rejoignez « Les coursiers solidaires ». Déjà plus de 400 bénévoles en France. Un bel exemple d’initiative solidaire et éco-responsable!
TRANSPORT ÉLECTRIQUE – La société française Navya, spécialisé dans les véhicules autonomes et électriques, a mis à disposition ses minibus sans conducteur pour transporter des tests de dépistage du Covid-19 en Floride vers les laboratoires.
En espérant que ces initiatives vous ont donné envie de participer à la construction d’un monde meilleur, et surtout durable… Il en existe plein d’autres à travers le monde, n’hésitez pas à nous partager les vôtres!!
En attendant continuez de rêver, à la maison pour le moment, bientôt nous sortirons de cette crise plus fort.es, nous l’espérons.
Et pour vous aider à dessiner les contours de vos prochaines aventures, Outside a mis en ligne une excellente sélection de films d’aventure, en libre accès, sur le ski, le snow, l’alpinisme, l’escalade, la voile, le running, le surf, le vélo, ou l’environnement.
Même si d’après la NASA, le trou dans la couche d’ozone s’est résorbé dernièrement, qu’on se rassure (ou pas) : ce n’est ni grâce à l’homme, ni grâce à l’avion, ce phénomène serait plutôt lié à des conditions météorologiques exceptionnelles. Dans ce contexte de COVID-19, nous observons aujourd’hui que le nombre de vols en Europe a diminué de 90% par rapport à la même période en 2019 et cette diminution est de 70% dans le monde par rapport à janvier 2020. Si l’on rapproche ces chiffres des impacts environnementaux, l’aviation a réduit son émission de 39 kilotonnes de CO2/jour à 3 kilotonnes de CO2/jour.
Cette réduction du trafic représente une perte économique énorme pour le secteur de l’aviation, et menace notamment de nombreux emplois. Face à cette crise, les compagnies aériennes demandent leur soutien aux gouvernements, notamment une suspension des taxes et normes environnementales pour l’après-COVID. Cela revient cependant à investir dans la dégradation du climat, alors que les compagnies aériennes bénéficient déjà de nombreuses exemptions fiscales. C’est dans ce contexte inédit que le collectif StayGrounded, appuyé par plus de 250 organisations mondiales, a lancé la campagne « Save People Not Planes ».
Ils estiment, et nous partageons à 100% leur point de vue, que l’aviation doit accepter des réglementations plus strictes et payer sa juste part de taxes lorsque la crise sera passée. Dès 2019, 7 organisations (le Réseau Action Climat, Greenpeace France, On est prêt, France Nature Environnement, Citoyens pour le Climat, I-boycott, Oui au train de nuit) avaient mutualisé leurs efforts en lançant la campagne Notre Choix, qui vise à mobiliser le grand public sur les enjeux environnementaux liés à l’aviation.
D’après cette campagne, 25 000 avions civils parcourent le ciel en temps normal et le trafic aérien ne cesse d’augmenter, avec de nombreux projets d’extensions d’aéroports. Nous ne pouvons pas être en accord avec une telle évolution lorsque l’on sait que l’avion est le moyen de transport le plus polluant. Un trajet Paris/Marseille en avion est équivalent à 45 Paris/Marseille en train en termes d’émissions carbone (et environ 2 Paris/Marseille en voiture, d’après le comparateur EcoPassenger).
A ces chiffres s’ajoutent la comparaison avec notre crédit de carbone individuel annuel. L’empreinte carbone moyenne d’un français est de 12 tonnes d’équivalent CO2 par an, et pour atteindre la neutralité carbone à l’échelle mondiale, il faudrait la diviser par 6. Un aller-retour Paris/New-York représente à lui seul 2,5 tonnes d’équivalent CO2 par passager.
Pour StayGrounded, cette pause permettrait la transition du secteur : la création d’un système de transport plus respectueux du climat et plus résilient face aux crises futures.
Une lettre ouverte adressée aux gouvernements, associée à une pétition internationale, a été publiée. Ils y demandent :
1. De donner la priorité aux personnes,
2. De créer un système de transport plus
respectueux du climat,
3. De mettre fin aux exonérations
fiscales de l’aviation.
Malheureusement, malgré les appels des citoyens et de plusieurs organisations de la société civile, dont POW, l’Assemblée Nationale a refusé le 17 avril dernier de conditionner les 20 milliards d’aide publique du « plan de sauvetage des grandes entreprises » à des engagements environnementaux. Plusieurs grandes entreprises polluantes du secteur aérien en seront les bénéficiaires.
Pourtant un amendement proposé par plusieurs député.es prévoyait que « tout soutien aux grandes entreprises [soit] conditionné à la mise en place dans les 12 mois qui suivent son obtention, d’une stratégie interne de réduction de leur empreinte écologique, en conformité avec les objectifs de l’Accord de Paris ». La partie n’est pas finie, plusieurs autres débats auront lieu à l’Assemblée Nationale et ailleurs pour discuter des modalités du plan de relance. La mobilisation pour une sortie de crise juste et durable continue.
Si vous aussi, vous pensez que le confinement est l’occasion inespérée de sonner la transition du secteur de l’aviation, et de conditionner les aides financières prévues pour sauver les compagnies aériennes : ENGAGEZ VOUS à signer la pétition!
L’urgence climatique est plus que jamais présente, et il est nécessaire de prendre des mesures ambitieuses pour y répondre. Ci-après les mots de Sarah Fayolle, chargée de campagne Transports à Greenpeace France « le secteur des transports doit être transformé en profondeur, sans quoi la crise sanitaire risque d’être suivie d’une succession de crises écologiques. Au-delà des aides d’urgence qui doivent d’abord assurer la protection des travailleur.euses, il sera nécessaire de limiter les transports les plus polluants, comme l’avion, et de soutenir la création d’emplois autour de transports plus écologiques, tels que le train ».
« Je suis un rêveur, j’aime rêver la vie et vivre les rêves. Mais pour passer de l’un à l’autre cela nécessite beaucoup de temps et de travail. C’est donc l’envie de rêver qui me pousse à aller en montagne et à rejoindre, aujourd’hui, POW France. »
Gaëtan skie 8 mois de l’année sans jamais partir des Alpes et surtout sans jamais s’en lasser. Que ça soit en collant pipette ou en ayant sa plus belle tenue de freeride, pour lui, le plus important c’est d’être là haut, et que ça glisse… VITE ! D’après lui, en restant chez soi, on développe beaucoup plus l’imagination sur la manière de skier et de regarder les montagnes. C’est ce qu’il adore. Il recherche sans cesse de nouvelles lignes ou skie les anciennes de plus en plus vite. Le plus magique c’est que parfois, juste en observant les cartes on peut se retrouver en expédition, quelques vallées à côté, sans même avoir pris sa voiture. C’est ce qu’il essaie de montrer dans sa webserie, Bério, fraîchement lancée avec son acolyte Bastien Vidonne.
Avant tout amoureux de la montagne, c’est avec elle qu’il prend conscience du réchauffement climatique. Soucieux de pouvoir skier le restant de ses jours, il a décidé de changer son mode de vie. Ancien ingénieur dans l’automobile, il vivait le greenwashing autour des SUV (Sport Utility Vehicles) et autres véhicules électriques. Et pour s’échapper de tout ça, il roulait des centaines de kilomètres tous les week-ends pour s’évader, vivre et rêver.
Aujourd’hui, il travaille en tant que charpentier dans une petite PME atypique du pays savoyard. Tout le bois utilisé pour les toits provient de la vallée. Les troncs sont sciés au cœur de l’entreprise, et c’est dans le bâtiment voisin qu’il taille à la main les poutres de la future charpente. Ce métier correspond bien plus à ses valeurs. Loin de la ville, il utilise désormais très peu sa voiture car il n’a plus besoin d’aller loin pour vivre sa passion pour la montagne. Il nous confie qu’il a maintenant seulement besoin d’ouvrir sa porte pour s’évader.
En parallèle de tout ça, il construit ses ruches, son potager et son verger à la recherche d’autonomie. Et pourquoi pas même jusqu’à créer une ferme partagée. Seul l’avenir le dira. En tout cas c’est ce dont il rêve.
Et côté idées, il en a plein d’autres !
En ce moment, il travaille sur deux projets majeurs :
Le premier : Continuer la saison 2 de « Bério ski ». La thématique de la saison prochaine est de partir sur plusieurs jours en autonomie dans la montagne et de profiter des conditions du moment pour faire soit du freeride, de la pente raide ou bien du backcountry.
Le deuxième : Un long-métrage alliant engagement sur les skis et l’environnement. Du beau ski et des belles montagnes pour nous questionner sur la situation climatique. Mais aussi en diffusant des idées pour évoluer à travers cet enjeu majeur.
Et pour finir, il nous cite Gandhi : “Le secret du bonheur, c’est l’alignement entre ce que vous pensez, ce que vous dites et ce que vous faites.”
Joffrey, photographe d’aventure et aussi documentaire, nous présente une série de photos réalisées au cours de plusieurs immersions dans des peuples nomades au Kirghizstan.
En amont, il avait découvert ces terres par hasard durant un voyage avec des amis vidéastes, et c’est alors qu’il tomba sous le charme de la culture nomade. La découverte d’un aiglier (chasseur à cheval utilisant un aigle royal dressé pour attraper les proies) le marqua, il eut l’idée d’en suivre un et d’en documenter sa vie.
Pour se faire, il fallait aller hors des sentiers battus et touristiques, chercher la pureté nomade. Grâce à ses contacts et une interprète, il rencontre Aman, aiglier accompli.
C’est en décembre 2018 que Joffrey se rend à nouveau au Kirghizstan pour une rencontre informelle en présence d’un interprète. Le but était de déterminer si l’alchimie opérait afin qu’Aman accepte d’emmener Joffrey dans sa famille et consente à partager son quotidien avec le photographe. Le chasseur, dans un premier temps teste le photographe qui lui explique son projet. À la fin de la rencontre, Aman curieux et intéressé, accepte et ils repartent ensemble dans sa ferme.
C’est
alors que les premières contraintes arrivent ; la barrière de la langue
mais aussi le fait que Joffrey est en captation d’instants en permanence, Aman
doit quelque peu s’adapter à la présence d’un photographe omniprésent. Joffrey
apprend à monter à cheval et l’accompagne, dès l’aube, dans tous ses déplacements
durant une semaine.
Il découvre alors le métier d’aiglier, une tradition nomade ancestrale présente en Asie centrale. Accompagné de son aigle royal de 25 kilos et 2 mètres d’envergure qui acère ses proies avec une force inouïe, Aman chasse le renard, le chacal et même le loup. Les peaux sont ensuite vendues ou travaillées par Aman.
Le temps s’arrête pour Joffrey qui partage alors le quotidien de cet homme et de sa famille. La complicité se crée, des liens se nouent, malgré la barrière de la langue et grâce à quelques moments festifs ; le partage de la vodka locale aidant ; Aman s’ouvre et laisse le photographe capturer ces instants.
L’exposition nous retrace des photos d’actions, de chasses, mais aussi la cristallisation d’instants familiaux, amicaux dans ces habitats traditionnels. Nous voyageons à travers ces régions et ces portraits qui nous immergent au cœur de la culture nomade.
Aujourd’hui
Joffrey organise des workshops, il est passionné par l’enseignement et met à
profit son expérience pour toute personne souhaitant améliorer sa pratique de
la photographie tout en voyageant. Le contenu de ces stages étant l’expérience
du voyage, la découverte mais aussi des cours théoriques et pratiques (éclairage,
composition, retouches…)
Joffrey est autodidacte, l’important étant pour lui de vivre sa passion. Il possède un fort désir d’aventure, de reportage et utilise la photographie comme langage pour nous raconter une histoire.
Ses
projets pour 2020 : de nouveaux voyages, de nouvelles rencontres et des
workshops ; toujours en quête de connaissance, de transmission et de
tradition. Il ira peut-être en Russie ou en Amérique du Sud.
Merci Joffrey pour ces instants photographiés, cette passion et ainsi nous permettre à travers ta vision d’avoir un œil ouvert sur le monde.
Texte écrit par Marion Garlet
Une exposition photo de Joffrey Persia, 27 ans, résidant à Paris, le 28 novembre 2019
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